Premières impressions de la mère castor
Passée la pétoche de l'avion (hé, Mère Castor, regarde les gens autour de toi, est-ce qu'ils ont peur ? Non) il y a eu la surprise d'avoir été, Fidel, Alice et moi, rejoints à Charles de Gaulle par Agathe, Gaëtan et Lucie pour finir ensemble le voyage jusqu'à Lomé. Puis la beauté des paysages, les montagnes enneigées, Paris sous la pollution, la Méditerranée et ses îles, le désert ondulé, le grand fleuve Niger et les loupiotes de Lomé by night, la chaleur terrible qui nous a saisis à peine arrivés à l'aéroport et l'accueil incroyable des gens d'ici qui nous ont emmenés en convoi vers la maison qu'on nous prête pour toute la durée de notre séjour.
Dès le lendemain matin, première promenade dans le quartier, les yeux écarquillés sur tout de qui nous étonne et nous émerveille, les arbres, les fleurs, les rues de poussière rouge sillonnées de motos, de chèvres, de volailles, de voitures, les petites boutiques, les minuscules étalages et surtout le sourire et la gentillesse des gens.
A suivre ? Bien sûr, dès que possible, avec le mariage d'Adèle et d'Amah, le bord de mer (ici le soleil ne se couche pas sur l'océan, c'est déstabilisant, si si !) le lac Togo, la maison des esclaves, le marché, la virée à Kpalimé et à Kouma et une mention spéciale enfant en or pour Lucie, reine de l'adaptation à toutes les situations.
La mère castor.
La petite dragonne à couettes à Roissy Charles de Gaulle
Lomé City Beach
Le superbe jardin de notre maison
Notre Quartier